mardi 24 mai 2011

N° 16_LORSQUE LES ARNAQUES S'ACCUMULENT


Pourquoi après bientôt 10 ans de combat et 8 mois sur internet, la Justice la Gendarmerie et le gouvernement ferment toujours les yeux ?

Quel sera l'action de Christiane TAUBIRA dans tout çà, elle qui connait très bien cette histoire depuis plusieurs années ?

Je porte plainte le 02 Juillet 2002 au près de la Gendarmerie de Rémire Montjoly. Je suis reçu par l'agent FERRNAND. Il me donne un document officiel signifiant mon dépôt de plainte mais refuse de me donner copie de mes déclarations.
Tout citoyen portant plainte doit recevoir de la gendarmerie copie de ses déclarations !   
Avant la fin du mois de Juillet, je suis licencié sans qu'il n'y ait une assemblée générale. Seule la Présidente et un Professeur de fitness décideront de mon sort.
Je l'ai donc signalé à l'agent FERRAND en lui procurant par la même occasion les statuts de l'association trouvé à la préfecture. Dans ces derniers il manque la page n° 2.  Aucun membre du bureau ne paraît dans ce document. Il apparaît ainsi que l'agent FERRAND avait la preuve que Marie Hélène GASSIOT  n'était pas la Présidente de cette association, comme monsieur Jean-Jacques BEAUDOUIN LAFON  n'était pas le Trésorier. 
Tout document incomplet est obligatoirement refusé par les administrations ! Texte inscrit en bas de page des documents administratifs comme la sécurité sociale ou la préfecture. 
Pendant un mois j'attends d'être convoqué par le Procureur mais rien ne se passe. Pendant ce temps là, trois fois par semaine  je fournis à l'agent FERRAND de nombreux documents que je découvre dans les administrations et d'autres que j'avais déjà découvert avant l'agression par le faux trésorier.
Les Huit identités de la Présidente. Marie Hélène.../...                   
GASSIOT : Son nom de jeune fille (nom actuel) 
MARSOLLE : Nom de son ex époux. 
BEAUDOUIN LAFON : Nom de son Amant le Faux Trésorier 


N° 1. BEAUDOUIN LAFON.
N° 2. MARSOLLE.
N° 3. MARSOLLE, BEAUDOUIN.
N° 4. MARSOLLE, BEAUDOUIN LAFON.
N° 5. GASSIOT, MARSOLLE.
N° 6. GASSIOT, BEAUDOUIN LAFON.
N° 7. BEAUDOUIN LAFON,  MARSOLLE.
Nom Officiel :
N° 8. Marie Hélène   GASSIOT.
Depuis 1998 cette femme vie en toute impunité sous huit différentes Identités auprès des administrations et des médiats. 
Une femme publique qui jusqu'en 2005 passait au minimum trois fois par ans sur les chaines de TV Guyanaises, sur le quotidien France Guyane et la Semaine Guyanaise. 
Depuis 2002 l'agent FERRAND  était au courant par les nombreux documents que je lui fournissais toutes les semaines, cela pendant trois ans. Donc la Procureur Anne KAYANAKIS était elle aussi au courant.
Parlons de l'utilisation des différentes identités de madame GASSIOT.



De 1998 à ce jour, je ne sais toujours pas comment se nomme cette femme. La gendarmerie à toujours refusé de me donner son identité, Ainsi que l'a fait mon Avocat

Maître José LAMA

Si je me réfère à l'article de presse de France Guyane du 18-05-2001 qui parle pour la première fois de madame GASSIOT, même sur ce journal le nom GASSIO est sans le (T) à la fin ...! Erreur du tribunal ou du journaliste ? Quoi qu'il en soit, même le Juge départiteur au Prud'homme, madame RAYON Fabienne ainsi que la greffière madame Cécile DIPP ont été incapable de me présenter une pièce d'identité de madame GASSIOT.
Au secrétariat au pénal ce fut la même chose. Quant au personnel de la préfecture, les Trois Préfets, Monsieur Vincent BRETON, Directeur de Cabinet du Préfet LAFLAQUIERE et de son prédécesseur m’imposèrent une OMERTA à propos de l'identité de madame GASSIOT
A croire que je suis tombé dans une Secte ou dans la Mafia ?

D'après l'avocat de madame GASSIOT,  Maître Jean-Yves MARCAULT DEROUARD il aurait donné au Prud'homme une pièce d'identité au nom de Marie Hélène GASSIOT, MARSOLLE, ainsi que me l'a confirmé l'huissier de justice.
Cet avocat  a la fâcheuse habitude de présenter dans ses dossiers de fausses identités de sa cliente sur les documents qu'il présente au juges. On y trouve des attestation à propos diffamatoires et fausses déclarations, des fausses adresses et j'en passe et des meilleurs. Bien entendu Procureurs et Juges ferment une fois de plus les yeux devant ces documents ! 


Ci à droite; document du référé qu'avaient demandé les parents d'élèves. Sur ce document la Présidente à bien donnée comme identité au tribunal, madame GASSIOT, MARSOLLE. 
Le Référé à capoté par la présentation de faux documents de fausses déclarations ou attestations par MARCAULT DEROUARD. Le Juge  Jacques FAHET Président du Tribunal de Grande Instance de Cayenne, Juge des Référés, s'est déclaré Incompétent. 
Ce Juge est loin d'être une demie portion dans sa profession ! Comment se fait-il qu'il a lui aussi fer les yeux  ? 
Les parents d'élèves ont été obligé d’arrêter les poursuites car ils ne pouvaient pas se payer le lux d'attendre que le tribunal daigne enfin condamner madame Marie Hélène GASSIOT  comme cela a était fait  au mois avril 2011 d'après l'article de presse de France-Guyane. 
Pourquoi en tant que premier témoin dans cette affaire, le Tribunal ne m'a pas entendu. Depuis le début de cette histoire pas un juge, ou délégué du Procureur ou procureurs n'ont entendu ma version des faits. 
A était entendu UNIQUEMENT, MARCAULT DEROUARD.  

___________________________
"Article de presse" 

En écriture Noir le texte publié par 
France Guyane, 
En Bleu  mes remarques 
et commentaires.  

Le Centre Montjoly Danse 

reprend vie au tribunal

Pierre-Yves CARLIERFrance-Guyane18.05.2011

Pendant plus de vingt ans, le Centre Montjoly Danse a rythmé la vie culturelle de l'Île-de-Cayenne. Jusqu'à sa liquidation en 2005, après des soupçons d'abus de confiance. Sa fondatrice et présidente, Marie-Hélène Gassio, a été condamnée hier à six mois de prison avec sursis et 3 000 euros d'amende. Son compagnon, trésorier de l'association, a été relaxé.

C'était le 21 août 2000. Le directeur de la Jeunesse et des sports de Guyane écrit à Marie-Hélène Gassio, présidente et fondatrice du Centre Montjoly Danse (auparavant Centre guyanais de la danse). Il lui adresse une « lettre de félicitations décernée par Madame la Ministre de la Jeunesse et des Sports, sur proposition de Monsieur le Préfet de la Région Guyane, pour les services rendus à la cause de la jeunesse et des sports » .

Cela fait presque vingt ans que Marie-Hélène Gassio propose des cours de danse en Guyane. L'association, qui compte entre 200 et 300 membres, est au faîte de son succès. À l'aube aussi d'une série de dépenses injustifiées, qui ont valu à Marie-Hélène Gassio et son compagnon et trésorier de l'association Jean-Jacques Beaudouin-Lafon, d'être jugés en correctionnelle.

Le mois dernier, ils étaient jugés pour des abus de confiance portant sur 132 715, 61 euros, commis entre 2000 et 2003. Les juges les soupçonnent d'avoir confondu la comptabilité de l'association et leur compte en banque personnel. Généralement au préjudice du club de danse, même si eux affirment avoir mis de leurs économies pour le faire tourner.

Mon commentaire : Une crasse de plus que me fait le tribunal. Elle n'est jugée que pour 2000 à 2003 alors qu'elle a volé les profs et l'état de 1998 à 2005 année de la fermeture de l'école.

Leurs économies on été Plus que largement remboursées durant la première année 1998, 1999.


« Toute son âme dans cette association »

Exemples. La présidente part en voyage au Maroc (où elle est née) aux frais de l'association et en profite pour rendre visite à sa fille et à sa mère. Elle se défend : C'était pour le travail. Il y a eu un cours de danse (orientale) l'année suivante. Je suis peut-être allée voir ma famille et ma mère. Comme tout le monde! » Le couple s'achète un caméscope avec le chéquier de l'association. Réponse des mis en cause : « Mon mari a toujours filmé les ballets de l'association avec sa caméra. Elle est tombée en panne et en a racheté une. » Marie-Hélène Gassio, bonne mère, envoie de l'argent à sa fille qui suit ses études dans l'Hexagone : « C'est vrai. Je lui envoyais de l'argent parce que mon premier mari était Alzheimer (sic). Mais ma fille rendait service à l'association. Elle faisait des stages (de danse) et nous a envoyé des professeurs de son entourage. »

Les propos ci-dessus ne sont que mensonges. Le juge a oublié de noter le voyage sur le Bélem, vieux gréement croisière de lux.

BEAUDOUIN LAFON n'a jamais filmé les spectacles du Centre Montjoly Danse. C'est des clients qui ont fait les deux films des spectacles. 1999 et 2001.

Pourquoi le Juge n'a pas demandé de voir les films du trésorier ?


Ou sont les films du spectacle de Roura, puis celui pour les HLM à la mairie de Cayenne, de L'ARATAÏ, et biens d'autres au nombre de 10 spectacles en 4 ans !

La Présidente a toujours envoyé de l'argent de l'école de danse depuis 1998 à sa fille Astrid et son fils Fabien !

Elle tente de prouver aux juges qu'elle a mis « toute son âme dans cette association » demandant à son compagnon de faire des travaux et de réaliser des décors pour les spectacles de danse.


FAUX ! 

Les décors c'est moi qui me les coltinais et non rémunéré parce que l'association n'en avait pas les moyens !

Le juge la reprend : Je ne conteste pas votre talent artistique. Mais la retraite de votre mari, vous ne la versiez pas sur le compte de l'association. Vous aviez donc compris qu'il y avait deux comptabilités différentes.

Sur la comptabilité, son avocat Me Kuffel souligne que l'expertise sur laquelle s'est appuyé le juge d'instruction présenterait de grosses lacunes. « Il est parti du principe que tout ce qui n'était pas justifié sur les talons de chèque est supposé avoir bénéficié à Marie-Hélène Gassio et son mari.

D'une part : Il fallait que le juge demande les relevés de compte de la poste, et de la BFC. Puis comparer les dépenses et recettes. Les entrées et sorties des espèces !

La preuve d'une partie des espèces sont écrites sur les cahiers de présences, et les paiements en espèces par les "Parents d'élèves ou élèves adultes".


Je n'ai jamais vu un travail aussi dégueulasse. C'est juste un ramassis de constatations. Je ne peux pas admettre qu'on dise qu'il y a eu des détournements de fonds. » Un avis que ne partage pas le parquet, qui conclut qu'il y a eu des « détournements à des fins étrangères » aux objectifs de l'association et que le compagnon était forcément au courant.


Finalement, le verdict est tombé hier. Marie-Hélène Gassio a écopé de six mois de prison avec sursis et 3 000 euros d'amende. Son compagnon a été relaxé.
- Un conflit du travail aussi

L'affaire du Centre Montjoly Danse a aussi été rythmée, ces dernières années, par le conflit qui oppose Marie-Hélène Gassio à l'ancien prof de danse de l'association, Éric Voyard, dit Harrisson. Pendant que l'ex-présidente et son compagnon faisaient le tour de l'Amérique du Sud en calèche, l'ancien prof remuait ciel, terre, palais de justice et ministères pour dénoncer une « histoire sordide » . Au fil de centaines de pages de courriers, il dénonce la gestion financière de la présidente, un état d'esclave » auquel il aurait été rendu et des coups qu'il aurait reçus de la part du trésorier (l'accusation a été retournée contre lui). Rien qu'en quatre ans, il a envoyé 180 courriers à l'ancienne procureur Claire Lanet.

IL finira par reprocher aux juges de ne pas enquêter et aux dirigeants guyanais d'entretenir une prétendue « Omertà » sur cette affaire.

De son côté, Marie-Hélène Gassio se dit victime « d'un homme qui nous en a fait voir pendant dix ans.

Et encore, et encore, même devant les juges la Président est abjecte dans ses propos !

Il a voulu lancer une plainte collective en montant les parents contre nous.

Ce sont les parents d'élèves qui ont monté une association pour tenter de récupérer leur professeur et élire un véritable bureau !

Madame GASSIOT et son amant le trésorier sont des opportunistes. 

Selon son avocat Me Kuffel, l'expert-comptable chargé d'étudier les dépenses de l'association aurait dû s'intéresser aussi au cas de l'ancien prof de danse.

Alors là, c'est le gâteau sur la cerise bien écrasée !

Maître KUFEL, c'est moi qui ai demandé au contrôleur principal de fouiller ma vie jusque dans "le trou du cul".
Expression que j'avais employé à l'époque. 


Ouvrez votre cervelle Maître KUFEL, qui a le fric dans cette affaire, qui est le SDF ?

J'attends ce contrôle fiscal de pieds ferme. Mais je demande aussi qu'il y en ai un pour vous et votre patron ainsi que pour tous les employés qui travaillent dans ce cabinet d'Avocat.

Maître KUFEL, vous ne vous êtes jamais posé la question pourquoi de 1976 année de la création du Centre Guyanais de la Danse Jusqu'à 2008 
il n'y a jamais eu de contrôles fiscaux, de contrôle d'URSSAF, de L'IGRC ou de la médecine du travail au près des associations et de nombreuses entreprises privées en Guyane ?
Fin de l'article. 

____________________________________

Dans les anomalies de la Justice allez voir l'article de presse sur la Procureur Claire LANET citée dans une affaire d'orpaillage

Pour réagir à ce courrier ou me donner un conseil, laissez un message sur :

bronchite.chronique@orange.fr  

Soit laissez votre commentaire sur cet page !

MERCI

________________________

Avec les bonnes arnaques, les vacances sont belles à Roche plate ! 
PHOTOS trouvées sur Internet :
La construction de ce camping-car a été financée en grande partie par les recettes de l’association « Centre Montjoly Danse » Dont Marie Hélène GASSIOT en était la Présidente. 
Abus de biens sociaux ?
Dans le Camping-car : Marie Hélène GASSIOT (ex) MARSOLLE, devenue sans être mariée, « Marie Hélène BEAUDOUIN LAFON »
En bas du véhicule : Sébastien MARSOLLE  « fils ainé de Marie Hélène »
A droite qui barbote : L’amant de Madame GASSIOT, Monsieur « Jean-Jacques BEAUDOUIN LAFON. Le faux trésorier de l’association

Madame TAUBIRA, depuis 10 ans que je me bats pour obtenir gain de cause au prud’homme, ainsi que réparation pour avoir été molesté en mon domicile pour licenciement abusif et aujourd’hui je peux dire un licenciement de façon crapuleuse, Que faites-vous Madame pour que votre justice entre en jeux ?
Merci Madame la Ministre de m’avoir lu, entendu, et peut-être écouté. 

________________________
Si vous ne pouvez pas m'aider, 
Aidez Sethi petit prince  "l'enfant bull"

1 commentaire:

  1. Instructif et révoltant ! Il faut dénoncer de tels actes et se révolter !

    Pierre

    RépondreSupprimer