dimanche 22 mai 2011

N° 18 -Bis -LE DÉPART HUMIDE DU PROCUREUR SCHNEIDER


Eviction” de l’ex-procureur de Cayenne

“Eviction” de l’ex-procureur de Cayenne
Fortement pressenti par la Chancellerie pour devenir le procureur de la République de la Rochelle, l’ancien procureur de Cayenne, François Schneider ne sera finalement plus muté en Charente-Maritime. Pire il est rétrogradé. « L’avis défavorable du Conseil supérieur de la magistrature » qui a fait suite à l’évaluation par le procureur général de Fort-de-France l’a invalidé pour ce poste.
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Pauvre Procureur, nous devrions le plaindre ? et que faites-vous Monsieur des dossiers "Eric VOYARD contre Centre Montjoly Danse" et mes employeurs que vous protégez par votre OMERTA depuis 2008 à 2012 comme l'ont fait les Procureurs Anne KAYANAKIS et Claire LANET de 2002 à 2008 ! 

Si votre candidature est retenue pour LA ROCHELLE, ou une autre de même importance, ce sera la preuve de la complicité de votre hiérarchie. Un Procureur qui étouffe des dossiers ne devrait pas bénéficier de promotions mais d'être mis en examen et de ne plus avoir droit d'exercer une profession faisant appel au droit !...

Ceci est ma conviction qui depuis bientôt 10 ans se confirme par ce jeu d'OMERTA !  
Je ne crois pas à l'article de France Guyane. Pour moi, le Procureur Général de Fort de France est aussi douteux que monsieur SCHNEIDER Sans quoi les procureurs n'auraient pas fermé les yeux sur ces trafics de subventions que fini par dévoiler mon histoire. 
Consultez entièrement ce BLOG 
et vous commencerez à vous poser 
des questions ! 

Le procureur de Guyane est désormais sans tribunal fixe

Sébastien ROSELÉ France-Guyane 19.12.2011
François Schneider, en attente d'une nomination dans l'Hexagone (photo d'archives)

François Schneider, procureur de la République de Cayenne depuis 2008, devait être nommé au tribunal de La Rochelle ce mois-ci. Une semaine avant son départ de la Guyane, il a appris que, finalement, sa candidature n'était pas retenue. Il est désormais dans l'Hexagone avec femme et enfants à attendre qu'on lui propose un autre poste.


Pour le vice-procureur Jean-Luc Lennon, le numéro 2 du parquet de Cayenne, il n'y a rien d'étonnant ni de scandaleux dans cette affaire : François Schneider a posé sa candidature pour le poste de procureur de La Rochelle mais elle n'a pas été retenue. Point final. Sauf que pour beaucoup d'autres personnes, les choses sont sans doute plus compliquées et moins reluisantes que cela. François Schneider, 45 ans, procureur de la République au tribunal de Cayenne aurait payé le prix fort de ses désaccords (pour ne pas employer un autre mot) avec son supérieur hiérarchique, le procureur général Jean- Jacques Bosc, basé à la cour d'appel de Fort-de-France. Un cadre de la fonction publique cayennais, sous couvert d'anonymat, confirme : « Ils ne s'entendaient pas. On ne sait pas pourquoi. François Schneider n'était pas un homme mauvais mais il a eu le malheur de s'attaquer au chef. »
Résultat, une semaine avant qu'il s'envole pour Paris avec son épouse et ses deux enfants, dont un en bas âge, on lui a dit qu'il n'était finalement pas affecté à La Rochelle. Celui qui demeure procureur de Cayenne jusqu'à ce qu'il soit officiellement remplacé, est donc dans l'Hexagone, sans affectation. Difficile du coup de trouver un logement et de scolariser des enfants quand on ne sait où on va aller.
On parle aujourd'hui d'un poste de procureur adjoint à Grenoble ou à Dijon. Dans une profession, la magistrature, spécialement celle du parquet, où on fait très attention à sa carrière et à son avancement, ces deux perspectives ne sonnent pas comme une bonne nouvelle. Un fonctionnaire confirme : « C'est un manque d'avancement. Disons qu'il stagne. Mais il n'est pas sanctionné. C'est vrai que s'il avait été nommé à La Rochelle, cela aurait été une belle réussite. »
Un autre cadre dans l'administration note qu'être procureur en Guyane nécessite du caractère. Et apparemment, François Schneider n'en manquait pas. « Quel que soit ce qu'on lui reprochait, on ne fait pas des choses comme ça. On a l'impression que la considération est inversement proportionnelle aux responsabilités. Et puis il y a deux victimes dans l'affaire : lui mais surtout sa famille. Une famille qui n'est responsable de rien. » Un troisième haut-fonctionnaire déclare qu'il aimait bien ce procureur justement « parce qu'il ouvrait sa gueule et qu'il allait sur le terrain » . Quant à son avenir incertain... « Il part comme un malpropre. À sa place, je serais amer. » Nous n'avons pas réussi à joindre l'intéressé. Tout ce que l'on sait, c'est qu'il est parti « en catimini » le 9 décembre, sans prévenir la plupart de ses collègues. Signe sans doute qu'effectivement, il doit être amer.

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Alors que je dénonce depuis plusieurs années la façon voyou d'agir de ce magistrat, je viens de découvrir qu'il a retrouvé une bonne place de vice procureur de la république à DIJON. 

Par l'omerta sur l'affaire au prud'homme d'Eric VOYARD contre Centre Montjoly Danse, et du dossier au pénal classé sans suite par le procureur Anne KAYANAKIS sans que je n'en sois averti, et la complicité du Procureur Claire LANET son successeur qui a étouffé cette affaire, ces trois Procureurs ont toujours trouvé de bons tribunaux pour les accueillir. 

Le comportement des ces trois procureurs laisse à penser qu'il y a eu corruption des ces magistrats 
Madame TAUBIRA trouvez-vous le comportement de ces magistrats très orthodoxe ?...  
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"Article de presse" 

En écriture Noir le texte publié par 
France Guyane, 
En Bleu mes remarques 
et commentaires.  

Le Centre Montjoly Danse 
reprend vie au tribunal
Pierre-Yves CARLIERFrance-Guyane18.05.2011
Pendant plus de vingt ans, le Centre Montjoly Danse a rythmé la vie culturelle de l'Île-de-Cayenne. Jusqu'à sa liquidation en 2005,
FAUX !
Il y a eu deux associations sous la même Présidente Marie-Hélène GASSIOT ex MARSOLLE.
Le Centre Guyanais de la Danse sous la présidence de Marie-Hélène MARSOLLE a commencé En septembre 1982 et s’est terminé en 1997
Puis il y a eu le Centre Montjoly Danse sous la présidence de Marie Hélène GASSIOT ex MARSOLLE.
Ce sont deux associations différentes qui ont chacune un N° de SIRET Différent.
ATTENTION.
Le couple GASSIOT MARSOLLE, BEAUDOUIN LAFON n’a été inscrit en préfecture en tant que Président et Trésorier que de 1995 à 1997 pour la première association, 
le "Centre GUYANAIS de la Danse"
Suite de l’article.
Après des soupçons d'abus de confiance. Sa fondatrice et présidente, Marie-Hélène Gassio, a été condamnée hier à six mois de prison avec sursis et 
3 000 euros d'amende. Son compagnon, trésorier de l'association, a été relaxé.
C'était le 21 août 2000. Le directeur de la Jeunesse et des sports de Guyane écrit à Marie-Hélène Gassio, présidente et fondatrice du Centre Montjoly Danse (auparavant Centre guyanais de la danse). Il lui adresse une « lettre de félicitations décernée par Madame la Ministre de la Jeunesse et des Sports, sur proposition de Monsieur le Préfet de la Région Guyane, pour les services rendus à la cause de la jeunesse et des sports » .
Cela fait presque vingt ans que Marie-Hélène Gassio propose des cours de danse en Guyane. L'association, qui compte entre 200 et 300 membres, est au faîte de son succès. À l'aube aussi d'une série de dépenses injustifiées, qui ont valu à Marie-Hélène Gassio et son compagnon et trésorier de l'association Jean-Jacques Beaudouin-Lafon, d'être jugés en correctionnelle.
Le mois dernier, ils étaient jugés pour des abus de confiance portant sur 132 715, 61 euros, commis entre 2000 et 2003. Les juges les soupçonnent d'avoir confondu la comptabilité de l'association et leur compte en banque personnel. Généralement au préjudice du club de danse, même si eux affirment avoir mis de leurs économies pour le faire tourner. 
Mon commentaire : Une crasse de plus que me fait le tribunal. Elle n'est jugée que pour 2000 à 2003 alors qu'elle a volé les profs et l'état de 1998 à 2005. Année de la fermeture de l'école. 
Leurs économies on été Plus que largement remboursées durant la première année 1998, 1999. 

Suite de l’article

«Toute son âme dans cette association»
Exemples : La présidente part en voyage au Maroc (où elle est née) aux frais de l'association et en profite pour rendre visite à sa fille et à sa mère. Elle se défend :  C'était pour le travail. Il y a eu un cours de danse (orientale) l'année suivante. Je suis peut-être allée voir ma famille et ma mère. Comme tout le monde! » Le couple s'achète un caméscope avec le chéquier de l'association. Réponse des mis en cause : « Mon mari a toujours filmé les ballets de l'association avec sa caméra. Elle est tombée en panne et en a racheté une. » Marie-Hélène Gassio, bonne mère, envoie de l'argent à sa fille qui suit ses études dans l'Hexagone : « C'est vrai. Je lui envoyais de l'argent parce que mon premier mari était Alzheimer (sic). Mais ma fille rendait service à l'association. Elle faisait des stages (de danse) et nous a envoyé des professeurs de son entourage. »
Les propos ci-dessus ne sont que mensonges. Le juge a oublié de noter le voyage sur le Bélem, vieux gréement croisière de lux. 
BEAUDOUIN LAFON n'a jamais filmé les spectacles du Centre Montjoly Danse. C'est des clients qui ont fait les deux films des spectacles. 1999 et 2001. 
Pourquoi le Juge n'a pas demandé de voir les films du trésorier ? 
Ou sont les films du spectacle de Roura, puis celui pour les HLM à la mairie de Cayenne, de L'ARATAÏ, et biens d'autres au nombre de 10 spectacles en 4 ans ! 
La Présidente a toujours envoyé de l'argent de l'école de danse depuis 1998 à sa fille Astrid et son fils Fabien ! 
Plus grave encore : Madame GASSIOT a produit pour sa défense une attestation de son ex époux alors qu’il est atteint de la maladie d’Alzheimer…
Suite de l’article :

Elle tente de prouver aux juges qu'elle a mis « toute son âme dans cette association » demandant à son compagnon de faire des travaux et de réaliser des décors pour les spectacles de danse. 
FAUX ! 
Les décors c'est moi qui me les coltinais et non rémunéré parce que l'association n'en avait pas les moyens !  

Suite de l’article.
Le juge la reprend : Je ne conteste pas votre talent artistique. Mais la retraite de votre mari, vous ne la versiez pas sur le compte de l'association. Vous aviez donc compris qu'il y avait deux comptabilités différentes. 
Sur la comptabilité, son avocat Me Kuffel souligne que l'expertise sur laquelle s'est appuyé le juge d'instruction présenterait de grosses lacunes. « Il est parti du principe que tout ce qui n'était pas justifié sur les talons de chèque est supposé avoir bénéficié à Marie-Hélène Gassio et son mari. 
D'une part : Il fallait que le juge demande les relevés de compte de la Banque Postale, et de la BFC. Puis comparer les dépenses et recettes. Les entrées et sorties des espèces !  Pas de comptabilité officielle n’a était exigée par le JUGE POURQUOI ? .
La preuve d'une partie des espèces sont écrites sur les cahiers de présences, et les paiements en espèces par les "Parents d'élèves ou élèves adultes".

Suite de l’article :
Je n'ai jamais vu un travail aussi dégueulasse. C'est juste un ramassis de constatations. Je ne peux pas admettre qu'on dise qu'il y a eu des détournements de fonds. » Un avis que ne partage pas le parquet, qui conclut qu'il y a eu des « détournements à des fins étrangères » aux objectifs de l'association et que le compagnon était forcément au courant.

Finalement, le verdict est tombé hier. Marie-Hélène Gassio a écopé de six mois de prison avec sursis et 3 000 euros d'amende. Son compagnon a été relaxé.

- Un conflit du travail aussi
L'affaire du Centre Montjoly Danse a aussi été rythmée, ces dernières années, par le conflit qui oppose Marie-Hélène Gassio à l'ancien prof de danse de l'association, Éric Voyard, dit Harrisson. Pendant que l'ex-présidente et son compagnon faisaient le tour de l'Amérique du Sud en calèche, l'ancien prof remuait ciel, terre, palais de justice et ministères pour dénoncer une « histoire sordide » . Au fil de centaines de pages de courriers, il dénonce la gestion financière de la présidente, un état  d'esclave » auquel il aurait été rendu et des coups qu'il aurait reçus de la part du trésorier (l'accusation a été retournée contre lui). Rien qu'en quatre ans, il a envoyé 180 courriers à l'ancienne procureur Claire Lanet. 
IL finira par reprocher aux juges de ne pas enquêter et aux dirigeants guyanais d'entretenir une prétendue « Omertà » sur cette affaire. 

De son côté, Marie-Hélène Gassio se dit victime « d'un homme qui nous en a fait voir pendant dix ans. 

Et encore, et encore, même devant les juges la Président est abjecte dans ses propos !

Il a voulu lancer une plainte collective en montant les parents contre nous.  

FAUX !
Ce sont les parents d'élèves qui ont monté une association pour tenter de récupérer leur professeur et élire un véritable bureau ! 

Madame GASSIOT et son amant le trésorier sont des opportunistes. 

Suite de l’article :
Selon son avocat Me Kuffel, l'expert-comptable chargé d'étudier les dépenses de l'association aurait dû s'intéresser aussi au cas de l'ancien prof de danse. 

Alors là, c'est le (gâteau sur la cerise) bien écrasée ! 
Maître KUFEL, c'est moi qui ai demandé au contrôleur principal de fouiller ma vie jusque dans "le trou du cul". 
Expression que j'avais employé à l'époque. 

Ouvrez votre cervelle Maître KUFEL, qui a le fric dans cette affaire, qui est le SDF ? 
QUI vous paye Grassement ?

J'attends ce contrôle fiscal de pieds ferme. Mais je demande aussi qu'il y en a un pour vous et votre patron Jean-Yves MARCAULT DEROUARD ainsi que pour tous les employés qui travaillent dans ce cabinet.  

Maître KUFEL, vous ne vous êtes jamais posé la question pourquoi de 1976 année de la création du Centre Guyanais de la Danse Jusqu'à 2008 il n'y a jamais eu de contrôles fiscaux, de contrôle d'URSSAF, de L'IGRC au près des associations et de nombreuses entreprises privées  en Guyane ? 

 Fin de l'article. 
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MON  COMMENTAIRES. 

Pourquoi : de victime je deviens auteur des faits aussi bien dans les dossiers de la gendarmerie que dans ceux des Tribunaux sans que je ne sois convoqué pour comparution, ni mis au courant de ce classement et cela pendant trois ans ? 

Pourquoi : Le Juge n'a pas tenu compte du fait que la fausse présidente et trésorier vivaient sous le même toit et dormaient dans le même lit depuis 1987...?  

Pourquoi : Le juge n'a pas demandé les statuts des deux associations sous la présidence de Marie-Hélène GASSIOT, MARSOLLE, BEAUDOUIN LAFON, alors qu'il a reconnu l'existence de cette association : Pendant plus de vingt ans, le Centre Montjoly Danse a rythmé la vie culturelle de l'Île-de-Cayenne. Jusqu'à sa liquidation en 2005,

Pourquoi : Ces documents ont disparu des dossiers que j'avais transmis au procureur Claire LANET et F. SCHNEIDER ?
Pourquoi : Du fait que personne du bureau ne soit déclarés dans les statuts du Centre Montjoly Danse, les juges n'ont pas tenus compte que ce couple n'étaient rien dans cette association sauf des Escrocs ! 
Pourquoi : En tant que victime de ces escroqueries et premier témoin, le Tribunal ne m'a pas convoqué ?
Pourquoi : je n'ai jamais été entendu par un Magistrat ? 
Pourquoi : Aucune comparaison n'a était faite entre l'enquête de Monsieur Jean DEBUC "Brigade de recherche financière" et le rapport du Capitaine COMBES dans lequel devait se trouver le procès-verbal de sa contre enquête, par conséquent la deuxième enquête de la brigade de recherche financière !  
Pourquoi : Comme l'a suggéré Maître KUFFEL, je n'ai pas eu droit à un contrôle fiscal ? Cela aurait démontré que le fric c'est le couple GASSIOT BEAUDOUIN LAFON qui se l'octroyait ! 
La Suggestion de KUFFEL est mensongère, ça fait bien dans le décor ! 
Quand la marée monte 
les crabes se retirent !
Pourquoi : Le dit Trésorier Jean-Jacques BEAUDOUIN LAFON a été épargné puisque c'est lui qui tenait les comptes de l'établissement, c'était lui qui achetait le matériel de bricolage pour (il parait) l'entretien des locaux, la confection des décors, la réfection de leur villa et la construction de leur camping-car avec les deniers du CMD. 

Qui versait les chèques et les espèces sur le compte du CMD ?  C'est bien lui qui notait les entrées et sorties d'argent sur le Grand Livre de compte ?  

Ou sont les comptes-rendus ou procès-verbaux du commissaire au compte ou de l'expert comptable que devait avoir le CMD vu les recettes mirobolantes de cette association ? 

Pourquoi : Cet homme n'a pas été convoqué à l'audience ? 

Pourquoi : Madame VERIN qui travail à l'URSSAF (Bien au courant des associations et du Centre Montjoly Danse et d'Amazone Créa Mode) n'a pas été convoquée à l'audience ?

Pourquoi : Le juge n'a pas exigé le témoignage des belles dames de la Préfecture les préposées au bureau des associations ? 

Pourquoi : Les juges pataugent toujours dans la choucroute ? Sont-ils si INCOMPÉTENTS, ou y a-ils Corruption ?  

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Quant-à son Prédécesseur le Procureur Claire LANET, ce n'est pas mieux !

Article de presse de France Guyane





Claire LANET citée dans une affaire d'orpaillage
Pierre-Yves CARLIER France-Guyane 11.09.2009

Quelle est la nature exacte des relations qui liaient l'ancienne procureure de Guyane au couple Ruffino ? (photo d'archives)
Des juges d'instruction parisiens s'intéressent au couple Ruffino, d'anciens orpailleurs reconvertis comme bijoutiers à Cayenne. Une personne auditionnée pendant l'enquête assure que l'ancienne procureure de Guyane les a alertés de ce que la Justice s'intéresse à eux. L'affaire a provoqué la réunion des conseillers de plusieurs ministères.

Un fonctionnaire de la direction régionale de l'industrie (Drire) mis en examen dans une affaire liée à l'orpaillage. Ce n'est pas le seul dossier dans lequel est cité un représentant de l'État. Un autre est instruit à Paris. Beaucoup plus sensible : y figure le nom de l'ancienne procureure de Cayenne, Claire LANET, ainsi que ceux d'un ancien sous-préfet et de deux gendarmes, selon une source au Palais de justice de Paris.

Instruite par le juge Sénac à Cayenne, l'affaire a été confiée, en début d'année, à des juges de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs). Au même moment, des conseillers des ministères de la Justice, de l'Intérieur, de la Défense et du secrétariat d'État à l'Outre-mer se sont rencontrés pour en discuter.

Quelles sont les interrogations de la Jirs au sujet de l'ancienne procureure de Cayenne ? A-telle prévenu un couple recherché en Guyane des investigations menées à leur encontre, suite à la saisie de marchandise suspecte sur le Maroni ? Le couple Ruffino anciens orpailleurs reconvertis comme bijoutiers à Cayenne - « a quitté la Guyane opportunément » juste avant le déclenchement de Harpie 1.

Pourquoi est-elle suspectée ? «Une personne auditionnée pendant l'enquête assure qu'elle a prévenu le couple», explique un magistrat cayennais. Le procureur actuel, François Schneider, que nous avons interrogé sur le sujet en début d'année, n'a pas souhaité commenter l'affaire, pas plus que Claire LANET. Une source proche de l'enquête se veut prudente : « Attention! Lancer des accusations est aussi un moyen d'essayer de diluer les responsabilités. » Une source à l'Élysée assure pour sa part que la mutation de Claire LANET à Nouméa « n'est pas une sanction ».

L'amitié entre l'ancienne procureure et le couple de bijoutiers, de notoriété sulfureuse depuis une petite dizaine d'années, est établie. Ils lui ont été présentés par le colonel Danède et le lieutenant-colonel Lernoux, alors numéros 1 et 2 de la gendarmerie de Guyane, à son arrivée dans le département. Le couple est très en cour auprès des autorités et est un peu « le fournisseur officiel » de nombreux magistrats, forces de l'ordre et haut fonctionnaires cayennais. Une première polémique avait éclaté à leur sujet il y a quelques années : le colonel DANEDE, devenu général depuis, était soupçonné d'avoir reçu de leurs mains une Rolex. La saisie sur le Maroni a elle-même provoqué un premier incident puisque la marchandise avait failli être rendue aux trafiquants présumés. Le parquet de Cayenne, alors dirigé par Claire LANET, avait finalement ouvert une information judiciaire.

Claire LANET a acheté au couple au moins deux pépites pour ses enfants. Les enquêteurs se demandent si elle faisait aussi partie des invités à la somptueuse fête que le couple a organisée au Hilton de Belém pour l'anniversaire de sa fille. Un officier, que le couple a tenté d'approcher, explique que « les fréquenter relève de la naïveté, de l'imprudence ou de la complicité » La magistrate, pour sa part, avait jugé nécessaire de se défendre, l'an dernier à Pâques, lors d'une discussion privée au bord de la piscine d'un de ses amis, à Rémire-Montjoly. Les invités de la soirée l'avaient entendue dire, sans que personne ne l'ait interrogée semble-t-il, qu'elle avait « toutes les factures » de
ses bijoux. 


Fin de l'article. 

Avec le premier Procureur Anne KAYANAKIS qui a classé le dossier de ma plainte Sans Suite sans que je ne sois invité à comparaître ni averti du classement,  

Il y a comme une odeur 

de panier de crabe ! 

Il a fait quoi le Procureur Général de Fort de France pour m'aider ? 
Je ne vois pas les résultats de ses actions. N'est-il pas de son devoir de regarder ce qui se passe en Guyane, surtout quant-il a été averti par mes courriers ! 

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Si vous ne pouvez pas m'aider, 
aidez Sethi petit prince  "l'enfant bull"


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