lundi 23 mai 2011

N° 18_IDENTITES MULTIPLES DE MADAME GASSIOT


Madame TAUBIRA, elle n'est pas belle notre Justice Française ? 
Les Trois Procureurs, Trois Préfets et les Quatre Ministres de la justice ferment les yeux sur ces fausses identités et escroqueries. 
POURQUOI ? 
La Belle Marie Hélène 

La femme à qui on donnerait le bon dieu sans confession !   
               

Les Huit identités 
de la Présidente. Marie Hélène
Ceci se nomme usurpation d'identité, Faux et usage de Faux, donc escroquerie. 
Sanction du délit pour Faux usage de Faux : 3 ans d'emprisonnement et 45000 € d'amande. 

Madame GASSIOT n'a jamais été punit pour cela. 
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GASSIOT : Son nom de jeune fille (nom
actuel)

MARSOLLE : Nom de son ex époux.

BEAUDOUIN LAFON : Nom de son Amant le Faux Trésorier


MARIE HÉLÈNE 

N° 1. BEAUDOUIN LAFON.
N° 2. MARSOLLE.
N° 3. MARSOLLE, BEAUDOUIN.
N° 4. MARSOLLE, BEAUDOUIN   LAFON.
N° 5. GASSIOT, MARSOLLE.

N° 6. GASSIOT, BEAUDOUIN LAFON.

N° 7. BEAUDOUIN LAFON, MARSOLLE.


Nom Officiel :

N° 8. Marie Hélène GASSIOT.


LES TROIS PROCUREURS et les quatre PRÉFETS savaient qu'elle vivait sous ces différentes identités ! 

Qui pourrait m'expliquer ainsi qu'à la Justice et aux Gendarmes, que le 06 novembre 1998  la Présidente ne pouvait pas se nommer MARSOLLE né GASSIOT mais uniquement GASSIOT. Ou est passée madame BEAUDOUIN LAFON ???
Le 23 Septembre 1998 madame MARSOLLE né GASSIOT devient sur la déclaration unique d'embauche madame BEAUDOUIN LAFON. Elle s'offre le lux de signer MHBL.


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Ci-dessus : Le n° de SIRET est une pure invention de la Présidente. Ce document n'a jamais été enregistré à la D.D.T.E. Mon avocat "José LAMA" avait ce document.  Pourquoi ne l'a t-il pas présenté ???

Contrat de l'année 2000 qui m'a était remis en 2002 par le CNASEA. Ceci n'est pas un contrat, mais un Exemple de contrat emploi-consolidé. En 2000 et sur le second Contrat Emploi Consolidé de 2001 la Présidente ne se nomme plus BEAUDOUIN LAFON, mai madame MARSOLLE.

Fausse dénomination de l'association : Cette école se nomme le "Centre MONTJOLY Danse". Et non pas comme il est stipulé sur ce contrat :LE CENTRE DE MONT "JOLY DANSE"
Le n° de SIRET est celui du : Centre GUYANAIS de la Danse, et non pas celui du Centre MONTJOLY Danse. 
Le Nom de la Présidente est celui de son amant, BEAUDOUIN LAFON, au lieu d'être son nom de Jeune fille : GASSIOT Marie Hélène puisque son époux Joël MARSOLLE a divorcé dans les années 1995 de la mère GASSIOT.  
Vicieuse la Présidente. 
Elle brouille les cartes en prenant pour initiales de l'école de danse le "C.M.D" au lieu du C.M.J.D.
C.M.D   =  Centre Montjoly Danse. 
C.M.J.D=  Centre de Mont "Joly Danse" 
Ce qui Confirme qu'elle savait d'avance que cette école se nommerait par la suite, le "Centre MONTJOLY Danse.   
POURQUOI : 
Sur le document en haut de cette page, le 6. 11. 1998 elle se nomme Madame MARSOLLE née GASSIOT
Comment le 18 Novembre 2002 quand la Présidente décide de changer les statuts de l'association elle se déclare sous le nom de GASSIOT Marie-Hélène
Pièce n° 18 présentée par MARCAULT DEROUARD
C'est Madame BIBE du burreau des association à la préfecture qui a réceptionnée les statuts du Centre Montjoly Danse en 1998, puis, qui a suivit cette association tout au long de son évolution. 
C'est Madame BIBE qui m'a remis les statuts ou il manque le page n°2 et ne contient aucun  membre du bureau ?
C'est elle aussi qui a fournie les statuts de 1998 aux parents d'élèves qui ont demandé un référé au tribunal. 
C'est encore Madame BIBE qui a enregistrée les nouveaux statuts en 2002 alors qu'elle savait que l'association Centre Montjoly Danse était caduc et que Marie Hélène GASSIOT n'était pas Présidente de cette association ! 
Grace aux faveur de Madame BIBE, la Présidente aux huit identités a continuée a tenir son association jusqu'en 2005 en toute impunité. 
Lettre de madame 
GASSIOT (EX) MARSOLLE 
adressée à Monsieur 
VOYARD dit HARRISON. 
Lettre datée du: 20 juillet 1995. 
A cette époque je ne savais pas si madame GASSIOT s'était remariée après le divorce 
ou était restée célibataire. 


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La Présidente GASSIOT, MARSOLLE, 
BEAUDOUIN LAFON me dit en dernière phrase : 
Je viens de terminer une année difficile à l'école de danse, à cause d'une salope en tout genre. Elle est virée et j'attends le ou la suivante. 
Décidément quel procédé ordurier, jeter sans respect ses employés et ne jamais avoir été punit pour ça ! ...
_____________________ 

Ma vie au CMD 
de Septembre 1998 
à fin Juin 2002.
Base d’élèves en juin 1998 à l’ouverture du CMD est de : 10 élèves qui venaient du Centre guyanais de la danse de l'ancienne association du vieux port de Cayenne.

Quatre ans plus tard (sans pub) pour les inscriptions en juin 2001 / nous avions 283 élèves.
En réalité le Centre Montjoly danse dépassait largement les 300 élèves

La Présidente GASSIOT me fait venir de métropole avec :
         N°1_Promesse d’un studio.
         N°2_Une voiture de fonction.
         N°3_Un premier salaire de 5000 francs brut pour la première année, Contrat signe de la métropole. Contrat qui devait être révisé après le premier trimestre. 

         À mon arrivée en Guyane :
Le studio ce réduit à : 
N°1_une chambre de 4 m sur 5.
N°2_La voiture de fonction est un vieux 4x4 Hilux Toyota en ruine.
N°4_Mon contrat se transforme en (CES) à 3.450 francs bruts car il parait que Marie Hélène GASSIOT n’a plus d’argent pour honorer mon salaire qui devait être de 5000 francs brut pour le premier trimestre.  
Contrat (CES) et les suivants en (CEC) que je n'ai jamais signé mais qui a tout de même été déposé à la DDTE de Cayenne. 

         De 1981 à 1986 et de 1998 à 2002, je n’ai pas eu droit à la visite médicale de la médecine du travail pourtant OBLIGATOIRE ! 
         Pas un seul billet d’avion offert par les deux associations (CGD et CMD).
         Motif : les deux écoles étaient trop pauvres.

N° 1_Pas un jour d’absentéisme en neuf années de bons et loyaux services 

N°2_Pas un jour d’arrêt de maladie. 
N°3_Pas un jour de retard. 


En octobre 2001 après mon opération, pas de jours de convalescence, alors que je développais un abcès ainsi que les points de sutures qui ne se résorbaient pas.
J’étais obligé de changer de pansements deux fois par heure, et ceci pendant trois mois.
         Pas d’heures supplémentaires payées pour les travaux de : 
N°1_Préparation des décors, 
N°2_Montages musicaux, 
N°3_Fabrications des costumes. 
Pour la fabrication des costumes, seul deux personnes sont venues à mon aide : 
Madame Marie-Laure BERNAD 
Madame Agnès GRAVELIER.

 Marie Hélène GASSIOT a réussit à passer à travers les mailles des filets : Impôts, de l’URSSAF, de la retraite complémentaire (IGRC), de la retraite de la Sécurité Sociale, UTILISE QUATRE N° de Siret et cela pendant VINGT-DEUX ANS. 
Aucun contrôle de la Préfecture. 
Aucun contrôle de la DAS, des POMPIERS, de la Jeunesse et des sports pour mise en conformité des lieux. 
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Lettre du 01 06 1998. 
Dans cette lettre qui fut jumelée avec la suivante, la Présidente GASSIOT me donne : 
N°1_Un salaire de 5000 francs Brut pour justifier devant la sécurité sociale.
N°2_Elle pense me déclarer ! (Ce qui est normal...) 
N°3_Elle dépose le dossier à la (DRAC) pour obtenir la subvention. 
N° 4_ Comment peut-elle toucher des subventions puisque l'association est caduc vu que le dossier est incomplet à la Préfecture ? 

Chère Marie-Claude PARFAIT, Toi et Monique PARFAIT de la Jeunesse et des Sports vous le saviez que Marie Hélène GASSIOT touchait les subventions de la D.R.A.C comme toutes les associations de Guyane. 
Etant toi-même Présidente de plusieurs associations tu connaissait très bien madame BIBE du bureau des association à la Préfecture ! Qui plus est une une Guyanaise soeur de couleur !... 

Je te fait remarquer que sur son entête de lettre merdique, il n'y a pas comme d’habitude de n° de SIRET !... 
Dans cette seconde lettre ci-dessous, La mère GASSIOT stipule : 
N°1_Qu'elle a réglée ses problèmes avec l'URSSAF "d'une certaine façon dit-elle" En effet elle n'avait pas déclarée comme il faut ses professeurs avec l’ancienne association le Centre Guyanais de la Danse qu'elle a fermée en quatrième vitesse pour une affaire de descente de drogués et de petite fille.

N°2_Elle note qu'elle a apprit qu'en déclarant son association à la Jeunesse et des Sports ainsi qu'à la D.R.AC elle ne payait pas de charges sociales des salaires pendant deux ans. 

N°3_Donc Monique PARFAIT et toi-même étiez bien au courant que Marie Hélène GASSIOT magouillait, et que Monsieur Vincent BRETON " Le bras droit du Préfet avait menti dans sa lettre, en disant que l'association Centre Montjoly Danse n'était pas agrémenté Jeunesse et des Sports ! 

Que des enflures dans ces administrations Guyanaises et dans grand nombre d'associations. 
Elle termine cette première page en disant qu'elle préférée être reconnue par les administrations citées et éviter deux ans de charges sociales... Comprends-tu me dit-elle ! 

Demain la suite su descriptif .   
Comment cette femme est passée pendant tant d'années 
aussi inaperçue ? 
Pourtant elle passait entre deux à trois fois par ans sur les différentes TV de Guyane ainsi que dans toute la presse écrite. dont le quotidien France Guyane et la Semaine-Guyanaise

J’ai été harcelé et je peut dire mis en esclavage pendant quatre ans par le couple GASSIOT et Beaudouin Lafon. 



Madame TAUBIRA par votre Silence vous cautionnez cette affaire ! Vous Protégez les VOYOUS de la Guyane. 


"HARRISON, il faut rester Zen !" 

1 commentaire:

  1. Madame Taubira laissez votre commentaire, avec mes remerciements. Eric

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